Les Naturels, façon yaourts nature Danone®

Bonjour à tous ! Oulalalala, ça fait longtemps… La fin de l’hiver est très surchargée en boulots divers et variés, mais on va reprendre un rythme plus régulier très vite ! Aujourd’hui, on parle d’un nouveau basique, dans le genre de l’Amical, de la Nattée, des Extraordinaires… Des basiques, certes, mais qu’on achète souvent au supermarché ! Et qui sont bien agréables à fabriquer soi-même quand on a le temps et l’envie (et des motivations du genre : jeter moins de pots de yaourts en plastoc). Mesdames et Messieurs, les yaourts nature ont donc leur place officielle dans le rayon frais de la Super Supérette. On a testé plusieurs façons de les faire, de la plus bricolo à la plus pro (enfin, façon de parler hein)… À très vite !

La Nattée, façon brioche tressée Pasquier®

La brioche tressée, c’est un bon goûter ou petit déj d’hiver… À manger tiède ou à faire griller, à tartiner de Grand-Papa, de Nostalgique ou de chocolat en poudre (ou de beurre et de sucre, mais ne le dites à personne). Cette recette de Nattée joliment tressée est très inspirée de l’œuvre d’un père d’épicière. Ce papa-là prépare sa spécialité hivernale autour de Noël. Parfois même, il se lève la nuit pour rabattre la pâte ou la faire cuire, pour que sa famille ait une bonne brioche fraîche au réveil ! Bon, le lever à 4 heures du mat’ n’est pas une étape indispensable de la fabrication, on vous rassure. Dans tous les cas, la Nattée embaumera votre maison (ou votre studio de 12 m2, c’est selon). Et puis si vous n’êtes pas très fort en tressage, vous pouvez toujours faire une brioche toute simple, ce sera délicieux aussi !

Les Délectables, façon cigarettes russes Delacre®

Les cigarettes russes, ça va avec tout, on peut jouer au mikado avec, les empiler, les remplir de crème fouettée, les piquer dans des desserts, parfaire une déco très très chic à côté d’un parapluie rose en papier, s’en servir de pailles pour aspirer un restant de glace fondue (on a connu plus classe, certes)… Ou les fumer gracieusement, en produisant une fumée imaginaire qui a l’avantage d’être absolument inodore et sans conséquence pour les poumons (après, on ne dit pas qu’elles n’augmenteront pas votre taux de cholestérol). Avez-vous déjà tenté de les fabriquer ? C’est plutôt facile, il suffit d’accepter l’idée de se cramer légèrement le bout des doigts pendant quelques minutes. De courts instants de douleur que vous oublierez rapidement quand vous dégusterez ces délicieux biscuits bien beurrés, ressemblant plus à des cigares cubains qu’à de fines cigarettes mentholées.

Les Affirmatifs, façon Yes®

Bien le bonjour chers lecteurs ! On espère que vous avez passé une bonne fin d’année 2013 et que 2014 commence sur des chapeaux de roue. On vous souhaite le meilleur, ni plus, ni moins !
Pour commencer l’année, voilà les Affirmatifs, un goûter positif qui réapprovisionne le rayon Imports un peu délaissé… Vous vous rappelez peut-être des Yes®, ces gâteaux moelleux fourrés aux noisettes, au cacao ou au caramel, enrobés de chocolat tendre et craquant et abrités dans un petit emballage ondulé en carton blanc ? Hélas, trois fois hélas, ils ont disparu des supermarchés français (on a d’ailleurs hésité à créer une rubrique RIP pour l’occasion, mais comme le Yes® n’a pas disparu pour tout le monde…). Heureusement, nous avons des envoyés spéciaux internationaux : l’inspiration est venue d’un colis gourmand en provenance directe d’Allemagne. Et si vous n’avez jamais entendu parlé de ce goûter, voyez l’expérience comme une sorte de fouille archéologique culinaire !

Les Bling-bling, façon blinis et tarama Blini®

Bien le bonjour à tous ! Et voilà, comme d’habitude, Noël s’est approché à grands pas sans même que l’on s’en rende compte… Voilà donc une petite recette de fêtes (ou pas) à préparer en deux secondes et demi : du tarama (où l’on prend conscience que non, le vrai tarama n’est pas rose fluo mais d’une couleur crème légèrement rosée) et d’adorables petits blinis. De quoi préparer un apéro 100 % home made, à accompagner de bulles ou d’un bon verre de Chateau-la-Pompe. Le combo s’appelle les Bling-bling, pour l’allitération, vous vous en doutez, pour briller le soir du réveillon aussi… Mais pas d’inquiétude, cette recette assez classe ne va pas vous ruiner complètement (le seul ingrédient pas très bon marché, la poche d’œufs de cabillaud, peut se trouver à 7 ou 8 euros). Alors voilà on vous souhaite un très très joyeux Noël et de super supervacances si vous en avez… Et on en profite vous remercier tous – amis, famille, lecteurs, éditrices, clients gold et les autres – pour cette SUPER année 2013 !

Les Bien-aimés, façon M&M’s®

Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans (et même presque les moins de 30 ans) ne peuvent pas connaître. Le temps où les M&M’s® n’existaient pas, mais les Treets® oui. Car ces petites cacahouètes croustillantes enrobées de chocolat au lait et d’une couche de sucre craquante, extrêmement addictives, sont arrivées sur le marché français en 1975, sous le nom de Treets®. C’est aussi l’année de naissance des chaînes TF1, Antenne 2 et FR3, souligne le site de la marque. Ça nous (vous ?) rajeunit pas hein ? Ce n’est qu’en 1986 que le nom M&M’s® a remplacé Treets®. Vous pouvez donc évaluer approximativement l’âge de votre interlocuteur en lui parlant de Treets®, en mesurant l’incompréhension dans ses yeux éberlués. Ça marche aussi avec le Raider®, mais c’est une autre histoire. Les lecteurs majeurs comprendront…
Bref, les M&M’s® sont profondément liés au cinéma, à l’époque où la marchande de friandises passait encore dans les allées de la salle obscure (véridique, même pour les moins de 30 ans). Un paquet de M&M’s® et une bouteille d’Orangina®, et le film ne pouvait être que génial. Ceci dit, c’est peut-être encore valable aujourd’hui ? Et puis les M&M’s®, ce sont des chocolats, pleins de couleurs, donc un truc qui fera bien l’affaire sur les tables de Noël ! D’ailleurs, la pub en joue allègrement. On vous a donc fabriqué des Bien-Aimés pour ce joli mois de décembre. Aujourd’hui, on triche un peu, car on n’a pas pu résister à l’appel des colorants, pour faire des beaux Bien-aimés colorés. C’est une entorse au « sans colorant »… Mais comme on peut toujours choisir exactement les ingrédients de nos recettes (en ayant bien conscience de ce qu’il y a dedans), libre à chacun de colorer (ou pas) les Bien-aimés, avec cette méthode ou une autre…  À adapter et customiser à l’infini, on vous fait confiance !

Week-end dédicaces en Anjou !

Bonjour ! Le week-end dernier, notre épicière Mélanie s’est rendue sur ses terres natales, l’Anjou, pour une tournée internationale de la Super Supérette ! D’abord à Brion, à la bibliothèque… Un immense MERCI aux super et accueillantes bénévoles qui avaient chacune cuisiné une recette du livre ! Et le lendemain, à Longué, pour le marché de l’Avent. Mille MERCIS aussi à tous les gens, famille, amis et inconnus qui sont passés avec leurs grands sourires !

Le Paradisiaque, façon quatre-quarts Ker Cadélac®

Ce quatre-quarts là, vous l’avez peut-être mangé, il y a plus ou moins longtemps, au centre aéré, aux goûters d’anniversaire ou aux tournois de foot de Brignolette-les-Oies. Ou, plus tard, comme l’Aïeul, dans des chambrettes d’étudiants, car il a l’avantage d’être bon marché et extrêmement nourrissant. Tout comme ses voisines de rayon, les « barres pâtissières », pouvant atteindre les 40 cm mais souvent bourrées d’huiles trans et Cie… Le quatre-quarts qui nous intéresse aujourd’hui est moelleux, un peu collant et très généreux. Il est élaboré « d’après le Code des usages du quatre-quarts », dit l’étiquette… Ce qui bien sûr ne manqua pas de piquer notre curiosité. Une petite recherche sur ce mystérieux code confirma nos intuitions nées un mercredi de 1997 : dans le quatre-quarts, comme son nom l’indique, il y a le même poids de beurre, d’œufs, de farine et de sucre…  Oui, bon, d’accord, vous saviez aussi, et le Paradisiaque ne réinvente ni la poudre ni l’eau tiède !!! Mais il vous nourrira de manière plus qu’agréable… À savourer nature ou à tartiner de Grand-Papa ou de Nostalgique !

Les Barrés, façon Carambar®

Selon la légende, le Carambar® serait né – comme beaucoup de bonnes idées – d’une erreur, dans l’usine du Chocolat Delespaul-Havez, dans le Nord de la France. Une machine se serait déréglée lors d’un test de friandise au caramel et au chocolat, produisant un bonbon en forme de barre, immédiatement baptisé… Carambar®. Depuis, la marque est passée de groupe en groupe. Et cette confiserie au caramel, à la fois assez dure et collante, est restée culte (plus d’un million de fans sur Facebook). Aujourd’hui, on pense toujours aux blagues mythiques (même si pas toujours hilarantes)… D’ailleurs, rappelez-vous, la fausse annonce de l’arrêt des blagues Carambar®, au profit d’exercices ludo-éducatifs, avait provoqué beaucoup d’émotion… Nous vous proposons aujourd’hui une version home made, absolument proustienne. Bon, cette recette a fait l’objet de très nombreux tests, et des petits paramètres ont mené à des échecs. Il est fort probable que d’un jour ou à  l’autre, d’une poêle à l’autre, d’un beurre à l’autre, les résultats soient d’une texture fluctuante. Mais pas de panique, ça devrait (quand même) être bon ! Si vous n’avez pas le même humour que les fabricants de blagues industrielles, vous pourrez proposer vos propres calembours sur des petits papiers. Et SUPER BONUS, on vous propose à la fin une planche A4 à imprimer et à découper comprenant la crème de la crème des blagues de notre concours de blagues. Les plus carambolesques des devinettes et facéties… À glisser dans vos bonbons faits maison.